Lycée Funay-Helene Boucher

Lycée Professionnel – Le Mans

Pays de la Loire
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En février 2017, deux classes du lycée ont participé au festival « En Jeu ! », proposé par l’équipe des Quinconces-L’Espal, du 6 au 10 février 2017.

Tel une «classe verte spectacle vivant», ce festival a proposéune immersion dans l’activité théâtrale durant trois jours.

Les jeunes spectateurs ont été guidés dans un parcours associant la venue aux spectacles, des rencontres avec les artistes, des échanges critiques et des ateliers de pratique artistique.

Retour critique des élèves sur ce festival :

L’histoire parle d’un enfant atteint d’une maladie. Il s’appelle Christopher Boone. Il a quinze ans et il est adepte des mathématiques. Il aime les listes, les plans et la vérité, et c’est un fan de Sherlock Holmes. Il réussit des exercices de mathématiques très difficiles et comprend la théorie de la relativité. Ce qu’il ne comprend pas, ce sont les autres êtres humains. Cette maladie s’appelle l’autisme.

Quand Christopher découvre le chien de sa voisine mort transpercé d’une fourche, il décide de mener son enquête pour découvrir le meurtrier. Son sens de l’observation, et ses pensées lui font découvrir le meurtrier et découvre les mensonges, et la lâcheté de son père. Il découvre également que les adultes ne sont pas tous honnêtes, et que le monde des adultes n’est pas toujours facile. Ce petit chef-d’œuvre d’imagination et de suspense nous introduit dans les émotions d’un jeune garçon autiste pour qui « le monde est plein de choses évidentesque personne ne remarque». Un autre regard sur la réalité.

Thyfanie: J’ai beaucoup aimé car c’est une histoire avec du suspense, et où on nous montre la réalité d’une personne malade. Et j’ai aimé voir le courage de l’enfant pour retrouver sa mère.

Clara: je n’ai pas beaucoup aimé car je n’aime pas beaucoup les histoires de suspense et j’ai trouvé que l’histoire était trop longue mais à par ça j’ai beaucoup aimé comment l’acteur principal jouait et l’humour qui se dégageait de l’histoire.

Avec Anastasia

Nous avons aimé le spectacle par rapport au fait qu’elle lie son histoire à la danse, à la musique.

Elle fait un autoportrait avec de l’humour et du recul, elle nous montre une part d’elle sur scène qui nous captive et nous emmène avec elle et son passé.

Elle s’expose avec puissance et vivacité, on voit qu’elle aime ce qu’elle fait, ce pourquoi elle le fait.

Nous n’avons pas aimé la partie de la danse où elle est au sol avec sa veste sur la tête, et danse longuement, peut être parce que c’était une idée du chorégraphe et pas une venant d’elle comme la plupart du reste du spectacle.

Marie et Kelly

C’est un spectacle de danse créé par 4 chorégraphes: Amala Dianor, Pierre Bolo, Annabelle Loiseau et Mickaël Le mer.

Cette compagnie est composée de 18 danseurs: 13 filles et 5 garçons qui ont été recrutés partout dans les Pays de La Loire. C’est une danse hip-hop mélangée avec du contemporain. Cette compagnie représente un grand saut dans la vie professionnelle des danseurs. Certains en ont fait leur métier et d’autres ne sont que des amateurs. Sous l’impulsion de leurs musiques, ils s’emparent du plateau en repoussant toujours plus loin les limites de leur danse. OVERFLOW signifie: Le débordement.

Danbé est un concert narratif. Nous étions placés dans une salle, munis de casques et nous étions assis par terre sur des coussins colorés. Nous pouvions aussi être assis sur des chaises. Des écrans placés dans les 4 coins de la pièce permettaient de mettre en valeur les personnages: une comédienne placée au devant de la scène et les deux musiciens placés à droite et à gauche. Danbé signifie «dignité». Le spectacle est inspiré d’un livre écrit par Marie Desplechin. Ce livre a été mis en scène par Olivia Kryger. Le téléfilm «Danbé la tête haute» a été réalisé par Bourlem Guerdjou.

Cette histoire raconte la vie d’Aya Cissoko. Suite à la mort de son père et de sa petite sœur à cause d’un incendie volontaire, elle se réfugie dans la boxe pour évacuer ses souffrances, sa peine, ses pensées…

Critique:

L’installation de la salle et des coussins ne sont pas adaptés à la situation. Malgré la mise en place des coussins qui permettaient au public d’être à l’aise, la position nous a déstabilisés pour voir la comédienne et les musiciens et aussi visualiser la scène. Mais grâce au matériel sonore (casque) nous avons pu imaginer le déroulement de l’histoire.

Kimberley, Alison, Natacha, Grace et Annabelle

A peine j’ouvre les yeux

critique d’un film :une adolescence d’ailleurs

date de sortie: 23 décembre 2015

réalisatrice: Leyla Bouzid

durée: 1h42

genre: Drame

nationalité: franco-belgo-tunisien

Résumé du film:

À Tunis, Farah, 18 ans, est chanteuse dans un groupe arabo-rock. Son petit ami Sohrène lui compose des chansons dans lesquelles il dénonce la politique de leur pays. Hayet, sa mère, qui était elle même contestataire, s’inquiète pour sa fille et préférerait la voir médecin.

Sa musique fait danser des bars entiers. Mais elle déplaît aux hommes qui sont favorables au régime

Et aux services de surveillance des citoyens.

Notre avis :

Nous avons bien aimé ce film parce que Farah a le courage de dénoncer les problèmes de son pays malgré les interdictions du gouvernement. Nous, Européens on a l’image de la Tunisie chaleureuse, club de vacances, soleil, mer alors que c’était un pays où ils n’étaient pas libres. On peut se retrouver à travers l’histoire grâce à sa bande de copains et à elle-même car ils sont assez jeunes. Mais en revanche, le film est difficile à suivre car c’est un film en arabe sous-titré en français. La violence administrée à Farah par les policiers nous a fortement touchés. De plus, certaines scènes sont choquantes.

Le dossier de presse est en pièce jointe.

Par ailleurs, lors de la scène ouverte, Tylan, élève du lycée, s’est particulièrement révélé au public :